Accueil > Personnages > Des têtes d'affiche du mouvement yé-yé

La chanteuse Renée Martel jouit d'une grande popularité à la fin des années 1960. C'était pour elle le début d'une longue carrière
Renée Martel
Les Classels, un groupe phare dans le Québec de la Révolution tranquille
Les Classels
Fougueux, Tony Roman donne tout un spectacle dans les années 1960. Sur cette photo, Roman est en compagnie de Nanette Workman
Tony Roman
Michèle Richard, la reine du yé-yé au Québec dans la décennie 1960-1970
Michèle Richard

Des têtes d'affiche du mouvement yé-yé

Le phénomène yé-yé permet l'émergence d'un très grand nombre de chanteurs et chanteuses, et de groupes. La carrière de la majorité d'entre eux est éphémère. Pour quelques-uns, toutefois, la période yé-yé marque le début d'une longue aventure dans le monde du spectacle. Michèle Richard se range parmi ceux-ci. Découverte féminine de l'année au Gala des artistes en 1963, Miss Radio-Télévision en 1967, elle fait figure de reine du yé-yé dans les années soixante. Elle doit son succès non seulement à ses chansons, mais également à son apparence qui inspire les adolescentes. Comparé à Michèle Richard, Tony Roman est une étoile filante dans l'univers de la musique populaire. Véritable bête de scène, Roman sait soulever les foules, enthousiasmant en particulier les jeunes filles. Après quelques années, il quitte la scène pour entreprendre une carrière de producteur.

Une myriade de groupes voient le jour dans les années 1960 au Québec. Le plus célèbre est sûrement les Classels. Avec leurs cheveux, leurs vêtements et leurs instruments de musique d'un blanc immaculé, leurs nombreuses chansons originales et leurs voix, ce groupe se range dans une classe à part. Avec les années, il a su plaire aussi bien aux jeunes qu'à leurs parents.

Événements associés

Années associées